Soumise Par Hasard ? Heureuse Et Fiere De LÊtre...
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
CHAPITRE 5 AU TRAVAIL APPORTER DE LA JOIE...
Messieurs, je vous présente Aglaé, vôtre nouvelle collègue, qui va désormais être la secrétaire, archiviste, standardiste et tutti quanti de l'étude, Aglaé est caractérisée par une autre qualification, elle est ma nouvelle soumise, ma nouvelle esclave, donc est à votre disposition, je compte sur vous pour faire passer le travail avant tout, mais elle est à votre entière disposition, cependant Aglaé ayant subi hier la pose de ses anneaux, je vous prierai pendant au moins deux mois, de ne la foutre qu'en bouche et cul, les mains propres vous pouvez peloter ses seins et caresser son sexe, mais on ne pénètre pas son sexe...
Maître Jean ouvre ma veste de tailleur, déboutonne mon chemisier, expose ma poitrine, relève ma jupe pour exposer mon ventre et mon cul, je tourne sur moi-même pour m'exhiber.
Hubert Legrand, que tu connais déjà, notaire, Marcel Paille, clerc de notaire, chargé des actes, André Grange, clerc également, mais plus spécialement chargé de la comptabilité...
Messieurs, je vous laisse faire connaissance avec votre nouvelle collègue, le travail m'appelle...
Je regarde Marcel Paille, petit, brun de peau, un peu grassouillet, André est son contraire, blond-roux, une grande perche... Hubert je le connais.
Il y a un silence à la sortie de Maître Baieul, puis Marcel Paille prend la parole eh bien pour faire connaissance, déshabillez-vous Aglaé, suivez-moi dans mon bureau, ou alors ici, et faites-moi une fellation...
Je tombe à genoux après avoir ôté ma veste et mon chemisier, retroussé ma jupe (je ne porte évidemment rien en dessous), débraguette Marcel et fait ce qu'il m'a demandé, j'obtiens satisfaction au bout de quelques minutes et suis félicitée de la qualité de ma prestation...
Plus pudique, André m'entraîne dans son bureau et je pratique la même caresse, puis il me dit de me rhabiller, il va m'initier au travail que je dois accomplir.
Je m'installe dans le bureau qui m'est réservé, André m'explique le maniement du téléphone (il en était chargé auparavant et semble soulagé de ne pus devoir transférer les appels, m'indique le nombre de carbones à insérer dans la machine lors de la rédaction des actes et me tend les feuilles que je dois dactylographier, il laisse la porte de son bureau ouverte, il viendra m'aider en cas de problème.
Je travaille ainsi une bonne heure et demie, répond et transfère trois appels, au mitan de la matinée Hubert apparaît Le café est prêt..., c'est la pause café, je prévient Maître Baieul que le café est servi.
Nous buvons le café dans une ambiance décontractée, il m'est expliqué, que dans la mesure du possible, chacun prépare le café à tour de rôle pendant une semaine, mon tour viendra donc, il y a une caisse commune pour le café.
Je suis Maître Baieul dans son bureau, il me tend mon contrat de travail, m'indique mes appointements, je dois avoir l'air surprise, mon Maître me demande ce n'est pas assez ?
Non, Maître, c'est beaucoup plus que je n'osai l'imaginer, je vous remercie... et suis très contente..., je signe le contrat, désormais j'ai un travail.
Je pense que tu feras du bon travail, donc dès le départ autant te payer en conséquence, d'autant que tu le verras, nous ne comptons pas nos heures, en fin d'année il y a une prime en plus cette année, chacun aura 15 jours de congés payés, un peu de repos ne fera de mal à personne, tu veux autre chose ?...
Si j'osais Maître, prenez-moi dans mon ventre, j'ai envie...
Moi aussi... salope...
Je suis allongé le torse sur le bureau, ma jupe relevée, Maître Jean me prend, je ne tarde pas à jouir en étouffant mes cris de plaisir...
Toute la fin de matinée, je travaille, les automatismes de dactylographie reviennent peu à peu, à midi et demi, j'ai fini le travail que m'avait confié André.
Je suis invitée à suivre mes collègues de travail dans une pièce qui a été aménagée en réfectoire, Pauline a apporté le repas et repart servir Maître Jean et Maîtresse Angèle qui mangent en tête à tête chez eux.
Tu bois un Picon avec nous ? me demande Hubert, Oui, je veux bien, mais je n'en ai jamais goûté..., en attendant... reprend Hubert en se débraguettant goûte mon apéritif...
Je tombe à genoux, dégage (sur ordre) mes seins et entreprend la fellation, la main de Maître Hubert guide ma tête, quelques minutes plus tard, je reçois dans ma bouche le sperme qui jaillit du membre dressé que je suce.... je nettoie comme il m'a été enseigné de faire.
Je me relève, un verre m'est tendu, je goûte, ce n'est pas mauvais, après avoir fini l'apéritif nous passons à table.
Après le repas, le temps que le café passe, je suis allongée, nue, sur la table, mes jambes au sol, mon anus est pénétré par Marcel, il ne tarde pas à jouir dans mon cul, je jouis aussi, nettoie comme maintenant j'ai l'habitude de le faire, André prend la place, je subie une deuxième sodomie, nettoie à nouveau, Hubert prend la suite, j'ai joui les trois fois, par contre je commence à avoir mal au cul, trois à la file...
J'ai repris mon travail et dactylographie de nouveaux actes, André m'appelle, je suis à nouveau allongée sur son bureau, jupe relevée, mon cul est une fois de plus utilisé.
Je reprend mon travail, Marcel m'appelle dans son bureau, à nouveau mon cul est utilisé.
Bien évidemment Hubert en fait autant, j'ai vraiment mal et supporte difficilement la position assise.
Je continue mon travail, en fin d'après-midi, je suis à nouveau rappelée par les trois hommes et de nouveau utilisée, mon cul me fait mal à hurler, je touche les limites de la soumission et de la souffrance qu'elle engendre dans certains cas.
Le travail est terminée, je regagne la maison de mes maîtres, les deux maisons sont distantes de 100 m en passant par le parc, je devise avec Maître Jean, ma jupe est relevée, il me caresse les fesses alors utilisée 9 fois cet après-midi, tu as mal au cul j'espère, parce que je vais te sodomiser en rentrant à la maison.
Je me tais, c'est mon sort, une esclave n'a rien à dire.
Je suis nue, attachée sur le chevalet, mes fesses sont cravachées, Maître Jean me pénètre sans prendre la peine de lubrifier, il force, mais je suis tellement ouverte, qu'il rentre sans difficulté et prend son temps pour me sodomiser, je serre les dents pour ne pas crier, et jouis comme de juste quand il se vide dans mon ventre, il me caresse le sexe, je jouis à nouveau, la souffrance n'existe plus face à mon plaisir.
Je suis toujours attachée, Maîtresse Angèle m'enfonce un gros gode dans le cul, l'attache avec des lanières, ce soir je resterai godée.
Elle me détache, nettoie et traite mes anneaux, puis me demande de garder mes mains derrière la tête et me cravache les seins et le ventre. Elle ne se déclare satisfaite que lorsque je commence à gémir, me branle le sexe, évidemment je jouis.
Je suis a quatre pattes sous la table, mes maîtres dinent, ma maîtresse met la nourriture dans son sexe, je lèche, gobe ce qui m'est donné à manger, pour boire, j'ai une gamelle d'eau posée au sol, je dois laper dedans comme la chienne que je suis, cette nuit je dormirai par terre, attachée au pied du lit de mes maîtres.
« A », nettoie le sexe d'Angèle, puis le mien, ensuite tu te branleras jusqu'à jouir, puis dodo, gentille chienne...
Je fais ce qui m'est demandé, j'ai assisté aux ébats de mon maître et de ma maîtresse, mon ventre est en feu, la douleur moins présente dans mon cul, malgré le gode qui est toujours dedans.
Nous allons nous rendre tout d'abord dans la boutique d'une de mes amies, puis aux Galeries Modernes pour acheter ta garde-robe, tu es d'accord ?
Bien sûr, Angèle, je te laisse faire...
Tout en conduisant sa voiture ma Maîtresse me demande si je ne suis pas trop choquée par le traitement qui m'a été infligée hier, je réponds que non, en fait c'est conforme à ce que j'imaginais et je n'ai aucunement à me plaindre, j'aime être prise et j'aime encore plus être dirigée, dominée, sur ce plan la journée d'hier a été parfaite, je suis une esclave et doit être traitée comme telle.
Dans la boutique de Madeleine, l'amie d'Angèle, mes mesures sont prises, deux jupes me seront taillées et prêtes dans une semaine, la vendeuse, une jolie petite blonde nous souri et nous présente une série de corsets et serre-tailles comme la maîtresse en possède, elle choisit pour moi, des bas, porte-jarretelles, la patronne signifie à Angèle qu'évidemment nous déjeunons chez elle, nous ressortons et nous rendons aux Galeries Modernes.
Avec ma maîtresse nous faisons l'acquisition de trois robes, trois tailleurs, des chaussures, une tenue de tennis avec ses chaussures et des tenues décontractées, débardeurs, polos et pantalons,shorts, ainsi que cinq chemisiers.
Nous sommes dans la maison de Madeleine, l'amie d'Angèle, un ordre claque « A », à poil et exhibe-toi en te branlant...
C'est notre nouvelle soumise, « A », elle est notre soumise depuis 4 jours et samedi soir, elle sera marquée au fer, vous êtes bien évidemment conviés à la fête, à la cérémonie au cours de laquelle elle deviendra définitivement une esclave...
La petite vendeuse, Antoinette, est également mise à nue, des marques rouges ne laissent aucun doute sur son rôle, elle sert à table, des poids pendent aux anneaux de sa poitrine ainsi qu'aux lèvres de son sexe..., ses seins sont disproportionnés par rapport à son torse et pendent sur son abdomen, une impression bizarre...
Je suis assise sur une chaise, jambes écartées et en suivant les ordres de ma maîtresse contrôle la montée de mon plaisir. A entendre les commentaires, mon excitation est visible, je m'en sens flattée...
Un homme arrive, il embrasse Angèle en lui relevant la jupe et lui caressant les fesses (je constate que la maîtresse est aussi nue sous sa jupe...), je suis présentée, sur son ordre, je m'appuie sur la table et présente mon fessier en écartant mes fesses avec mes mains pour bien dégager l'accès à mon anus, l'homme me sodomise sans préliminaire, la pénétration me fait grimacer, puis le plaisir envahi mon ventre (je me rend compte que j'adore être ainsi e, j'ai vraiment un tempérament de pute soumise, je suis faite pour être contrainte, cette constatation renforce ma volonté d'obéir en tout à Maître Jean et Maîtresse....).
Sur le chemin du retour, ma Maîtresse stoppe son cabriolet, descend et me dit tu vas prendre ma place, je vais t'apprendre à conduire...
Je suis effrayée, tentée de refuser puis écoutant les conseils qui me sont prodigués, ma foi, me débrouille plutôt bien, nous arrivons à M..., sur les conseils de ma Maîtresse, je stoppe la voiture, la met au point mort, tire le frein à main et descend, elle me remplace, nous allons aller voir où sera implantée sa future agence.
Nous visitons les lieux, l'emplacement est remarquable, bien situé en centre ville, Aglaé va prendre en charge la commercialisation des nombreux biens que l'étude à en vente...
Maîtresse, je ne sais comment vous demander...
Taratata... tu veux que je t'attache et te fouette, pour pouvoir offrir tes marques à Jean, lorsqu'il rentrera tout à l'heure ?, je me trompe ? Non... tu veux lui prouver que tu es désormais son esclave ? Que tu peux tout supporter ?
Oui, s'il vous plaît soyez sévère avec moi...une question si j'osais...
Je la connais ta question, les seins d'Antoinette, des injections de sérum et pendue de longues heures par les seins, mais il faut aimer, Jean n'est pas un partisan de cette pratique, il préfère laisser le temps agir sur la poitrine d'une soumise, d'autant plus que tu sera très souvent pendue par les seins, regarde ma poitrine, mes seins ne tombent pas sur mon estomac, mais ils n'ont plus la fermeté d'avant... par contre ils ont gagné en sensibilité...
Je suis attachée bras et jambes écartelés au maximum, Maîtresse m'a prévenue elle ne veut pas m'entendre, je peux pleurer, je ne dois jouir que lorsque j'en aurai l'autorisation, elle est nue à l'exception d'un guêpière en cuir qui laisse ses seins libres et de hautes bottes de cuir qui montent jusqu'en haut de ses cuisses.
Je vais te dresser avec ce martinet, il ne laisse pas beaucoup de traces, mais tu vas comprendre, lorsque je te caresserai, ne jouis pas ou du moins retiens toi à ton maximum....
Maîtresse fait glisser les lanières du martinet sur ma poitrine, mon dos, mes cuisses, puis les coups arrivent, je serre les dents, j'ai l'impression que ma peau va se décoller, tout mon corps y passe, seins, ventre, sexe, cuisses, fesses, j'ai le corps en feu, je suis en nage, soudain la souffrance disparaît, mon ventre a un spasme, je sens l'orgasme se déclencher, ma mouille coule, Angèle s'en rend compte et accentue ses coups, je ne les sens plus, je suis décidée à jouir, je dois jouir, je ne pense qu'à ça, j'oublie les coups, mon ventre... mon ventre, la main salvatrice de ma maîtresse caresse mon sexe, mes lèvres, mon bouton, je n'y tiens plus, je vois comme dans un brouillard, mon Maître me regarder, je hurle mon plaisir, je ne vois plus rien, j'ai les jambes fauchées, je suis pendue par les bras, semi-consciente...
J'entends la voix d'Angèle tu te rends compte, Jean, je l'ai fait jouir au martinet... incroyable, elle est d'une résistance phénoménale et possède une motivation sans faille, elle est vraiment née pour ça..., des dispositions telles pour être soumise que j'en suis baba... jamais je n'avais vu cela, j'en avais entendu parler, mais de là à le voir... c'est inouï..., je te la laisse pour la suite, mais traite-là durement mon amour...elle a demandé elle même à subir l'indicible pour t'offrir ses marques, ne la déçoit pas...
Je sens le contact d'un verre sur mes lèvres, je bois goulûment l'eau qui m'est offert, je me redresse sur mes jambes, je souris Merci, mon Maître..., mon Maître est nu devant moi, il bande, me caresse, ses caresses sont souvent adressées à ma poitrine...
Ma poitrine a été ligotée, je suis suspendue par mes seins et mes jambes, mes bras comme mes jambes sont attachés écartés, mais plus lâchement..., je suis quasiment à l'horizontale, je vois mon Maître prendre une cravache, les coups pleuvent sur mes seins, mon sexe, mon cul, j'ai mal à hurler, les anneaux fraîchement posés lorsqu'ils sont heurtés par la cravache me font un mal de chien..., je pleure en silence, puis de nouveau la chaleur s'empare de mon corps, mon ventre a de nouveau un spasme, je sens ma mouille couler, jentends les commentaires de mon Maître...
Je vois une main de mon Maître saisir un de mes seins, il tient dans l'autre main une longue aiguille et sans hésiter me la plante dans le sein en arrière de l'auréole, il force, l'aiguille pénètre et transperce totalement mon sein, j'apprécie cette douleur et le dit, trois autres aiguilles sont ainsi enfoncées, mon autre sein est traité de la même manière...
Un corde est enroulée autour de ma taille, mes jambes sont détachées, mon Maître me dit de passer mes jambes autour de sa taille, je me cambre pour m'offrir, son sexe est enfin dans le mien, il va lentement, utilise la corde pour mieux m'attirer à lui et ainsi me pénétrer un peu plus, suspendue par les seins j'ai le temps de jouir deux fois avant qu'il ne se vide dans mon ventre...
Je sombre à nouveau dans une semi-inconscience, j'ai conscience d'être pendue par mes seins, mais ne ressent plus aucune douleur, je suis au-delà de la douleur...
Quelques minutes plus tard, je suis détachée, mes seins libérés, je dois moi-même enlever les aiguilles et passer du désinfectant sur mes seins, je m'exécute sans faillir...
Je suis amenée devant une glace, j'admire mon corps de soumise, strié de belles marques laissés par la cravache, mes seins sont violacés, douloureux, je me retourne, demande à mon Maître l'autorisation de l'embrasser.
J'embrasse mon Maître et lui murmure merci Maître, je suis heureuse de ne pas vous décevoir et vous assure de ma plus parfaite soumission, vous pouvez tout me faire subir, pour votre amour, je supporterai tout...
Sur son invite, je m'habille et présente les vêtements que nous avons acheté, nous sommes félicités pour nos choix.
Je suis couchée sur la descente de lit, mes Maîtres sont en train de faire l'amour, un appel, je nettoie avec ma langue le derrière de ma Maîtresse... je suis invitée à monter sur le lit, me mettre à quatre pattes et présenter mon cul à mon Maître...
La main enduite de lubrifiant pénètre lentement dans mon anus, le premier sphincter a cédé, je souffre, le deuxième cède aussi, la main de mon maître est dans mon ventre, son autre main branle mon bouton...
La Maîtresse est en train de m'agacer les seins avec ses dents, ses doigts agacent mes pointes, serrent mes seins, tirent sur les anneaux, ses ongles se plantent dans la chair de ma poitrine, la houle envahie mon ventre, je ne sens plus la douleur, je jouis... je hurle...
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